projet terra dendrobates

bonjour,
J'oeuvrais sur un projet de grandes dimensions depuis pas mal de temps, mais un déménagement à venir me contraint à remettre mon rêve à un futur plus ou moins proche.
J'ai donc décidé de réduire temporairement la voilure, mais pas trop quand même...
je pars donc sur un terra en 6mm complètement drosoproof,
volume terra: 80*50*60 soit 1/4 m3
volume galerie: 80*50*10
placage forex noir
2 aérations hautes et 1 basse
3 perçages pour passe cloison de brumisation à haute pression.

voici la matière première végétale:
- de nombreux Neoregelia (une vingtaine rejets compris) et un pied de vanille

- un Dischidia platyphylla bien vigoureux

- un Aeschynanthus colossal

- un Phalaenopsis nain, un Vriesea nain, et un tillandsia cyanea

-deux gros Neoregelia: un N. 'peviento' et un N. camorimiana


- du chêne-liège à volonté

mon souhait est de faire un terrarium très aérien, le choix de la plupart des plantes 100% épiphytes n'est pas anodin.
Je me tâte également à faire une partie aquatique suffisante pour du betta, le tout formerait alors un jardin suspendu au dessus de l'eau.
J'envisage enfin d'installer 2 cascades, une en travertins, et l'autre passant par une succession de branches de chêne liège creuses
La difficulté sera de faire quelquechose d'harmonieux, en partant sur une diversité grande de Neoregelia. Peut-être faudra-t-il en sélectionner certaines et en écarter d'autres...
pour le chauffage, je veux externaliser au maximum, ca sera donc la chaleur de la galerie et éventuellement un tapis infrarouge collé contre une paroi
Il sera a priori destiné à de l'azu et/ou de l'anthonyi, au moins dans un premier temps. Toutefois l'espèce qui me fait rêver est Oophaga histrionica... avec les contraintes que l'on sait (prix, légalité, etc.)...
voilà top départ...
si vous avez des suggestions, des conseils, des avis, que vous voyez venir des problèmes à grand galop, ou autre, n'hésitez pas à m'en faire part
MAJ 05/01/2012 Avancée:
aujourd'hui test de mise en eau de la cuve, aucune fuite à déplorer, espérons que ca soit idem dans une semaine

retour dans un vallon pour rassembler un peu de matière première, un vrai gisement de petits troncs évidés

ca avance... doucement, mais je n'ai le feu nulle part.
par ailleurs devant le prix des azu, je ne regrette pas d'avoir un peu de répit après les fêtes
et pendant ce temps l'infirmerie prend forme, le Neoregelia est devenu rouge sang, son rejet aussi, quelques inoculums de java ont été disposés sur le fond et la paroi

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la bouture de Dischidia racine violemment et s'enfonce dans le polystyrène tourbé, forme des bourgeons floraux et a grandi de 2 entre-noeuds en 3 semaines à peine depuis son amputation du pied-mère... c'est à n'y rien comprendre, car la croissance du pied-mère est autrement plus longue. j'ai l'impression que les feuilles en contact avec la paroi commencent à se modifier en cabosses, tandis que les racines sous-jacentes se développent à outrance. Ca me confirme que le Dischidia est la grimpante ultime pour terras tropicaux humides.

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Je prévois de coller en puzzle des chutes d'écorce de chêne-liège sur les parois encore nues, mais au fur et à mesure.
j'aurais bien vu un Neoregelia lilliputiana, mais je n'en ai point...
J'oeuvrais sur un projet de grandes dimensions depuis pas mal de temps, mais un déménagement à venir me contraint à remettre mon rêve à un futur plus ou moins proche.
J'ai donc décidé de réduire temporairement la voilure, mais pas trop quand même...
je pars donc sur un terra en 6mm complètement drosoproof,
volume terra: 80*50*60 soit 1/4 m3
volume galerie: 80*50*10
placage forex noir
2 aérations hautes et 1 basse
3 perçages pour passe cloison de brumisation à haute pression.

voici la matière première végétale:
- de nombreux Neoregelia (une vingtaine rejets compris) et un pied de vanille

- un Dischidia platyphylla bien vigoureux

- un Aeschynanthus colossal

- un Phalaenopsis nain, un Vriesea nain, et un tillandsia cyanea

-deux gros Neoregelia: un N. 'peviento' et un N. camorimiana


- du chêne-liège à volonté

mon souhait est de faire un terrarium très aérien, le choix de la plupart des plantes 100% épiphytes n'est pas anodin.
Je me tâte également à faire une partie aquatique suffisante pour du betta, le tout formerait alors un jardin suspendu au dessus de l'eau.
J'envisage enfin d'installer 2 cascades, une en travertins, et l'autre passant par une succession de branches de chêne liège creuses
La difficulté sera de faire quelquechose d'harmonieux, en partant sur une diversité grande de Neoregelia. Peut-être faudra-t-il en sélectionner certaines et en écarter d'autres...
pour le chauffage, je veux externaliser au maximum, ca sera donc la chaleur de la galerie et éventuellement un tapis infrarouge collé contre une paroi
Il sera a priori destiné à de l'azu et/ou de l'anthonyi, au moins dans un premier temps. Toutefois l'espèce qui me fait rêver est Oophaga histrionica... avec les contraintes que l'on sait (prix, légalité, etc.)...
voilà top départ...
si vous avez des suggestions, des conseils, des avis, que vous voyez venir des problèmes à grand galop, ou autre, n'hésitez pas à m'en faire part
MAJ 05/01/2012 Avancée:
aujourd'hui test de mise en eau de la cuve, aucune fuite à déplorer, espérons que ca soit idem dans une semaine


retour dans un vallon pour rassembler un peu de matière première, un vrai gisement de petits troncs évidés

ca avance... doucement, mais je n'ai le feu nulle part.
par ailleurs devant le prix des azu, je ne regrette pas d'avoir un peu de répit après les fêtes

et pendant ce temps l'infirmerie prend forme, le Neoregelia est devenu rouge sang, son rejet aussi, quelques inoculums de java ont été disposés sur le fond et la paroi

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la bouture de Dischidia racine violemment et s'enfonce dans le polystyrène tourbé, forme des bourgeons floraux et a grandi de 2 entre-noeuds en 3 semaines à peine depuis son amputation du pied-mère... c'est à n'y rien comprendre, car la croissance du pied-mère est autrement plus longue. j'ai l'impression que les feuilles en contact avec la paroi commencent à se modifier en cabosses, tandis que les racines sous-jacentes se développent à outrance. Ca me confirme que le Dischidia est la grimpante ultime pour terras tropicaux humides.

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Je prévois de coller en puzzle des chutes d'écorce de chêne-liège sur les parois encore nues, mais au fur et à mesure.
j'aurais bien vu un Neoregelia lilliputiana, mais je n'en ai point...
