Billant du marché de la dendrophilie et réflections perso

Billant du marché de la dendrophilie et réfections personnel.
Etat du marché.
-Développement de la demande plus importante que les quotas d’exportation.
-Il en découle une augmentation potentiel du chiffre d’affaire général qui ré-accentues les démarches parallèle plus lucratives qu’est le braconnage et l’import illégale en dehors de la filière autorisée.
Système légale en place (CITES)
Cet organisme tente de réglementer les exportations pour protéger les populations sauvages.
Chaque exportation est sujette à une autorisation attribuée à un exportateur agréé.
Elle est ciblée sur une variété précise et sur une quantité bien définie.
Dans le principe, ce n° d’autorisation doit permettre de tracer les individus partout dans le monde.
Ce qui ne marche pas et pourquoi.
Les exportations sauvages sont permanentes.
Les structures « policières » ne peuvent pas contrôler toutes les sorties (pays tropicaux avec frontières totalement perméables, corruptions financière fréquentes…
Facilité de détourner la législation. (vide juridique)
Impossibilité de marquer les animaux, ce qui remet tout le système en pièce.
Que devrions-nous changer dans ce système pour que cela puisse évoluer dans le bon sens.
A-Diminuer l’attrait financier du braconnage.
Pour cela il y a plusieurs directions mais nous ne pouvons pas toutes les influencer à notre niveau.
-arrêter d’acheter… impensable pour des passionnés que nous somme…et il en resterait toujours pour commander.
-boycotter les animaux adultes non issu de la repros du vendeur (pour limité les mouvements des sauvages qui sont presque toujours adultes). De la même manière que l’arrêt de l’achat, c’est utopique.
-aider et promouvoir les initiatives d’élevage pour développer le NC de manière à avoir suffisamment d’animaux en comparaison de la demande et ne plus avoir besoin d’importer.
-avertir sur les risques pour le milieu que provoquent l’importation illégale et le braconnage sur les populations sauvages.
B-améliorer la traçabilité des animaux.
-demander systématiquement un papier de session et les papiers de cites pour toute bêtes importées (valable aussi si l’animal est passée par un pays intermédiaire car c’est uniquement au passage des frontières que les infos remonte a la CITES.)
-idéalement il faudrait à chaque nouvelle génération, donner l’historique des origines. Un peu à la manière du système de pédigrée des chiens.
Même si tout le monde ne le fait pas, si des groupe s’engage a travailler de la sorte, avec le temps, ces « famille généalogiquement identifiés » pourrons se développer et peut être surpasser les animaux non identifiés ce qui pourrait au finale laisser croire que sans identité généalogique l’animal peut être issus d’import illégale.
Il est évidant que toutes les bêtes sans « papier généalogique » ne seront pas obligatoirement illégales mais cela limitera peut être l’intérêt des sans papier issus du braconnage car boudés a la vente.
Si ces bettes sont boudées, leur prix baissera et cela pourrait aboutir a ce que ce bisness ne soit plus aussi rentable… ces personnes sans scrupule se réorienteraient peut être vers d’autre marché plus lucratif…
-trouver un système pour pouvoir identifier individuellement les animaux de manière a éliminer la faculté d’attribuer une fausse identité par N° CITES a des animaux qui ne proviennent pas de cette autorisation d’importation. (Blanchiment d’importation illégale)
Pour les gros animaux, c’est relativement simple avec bagues, tatouage, puce… pour les dendros, toutes ces technique sont inapplicable…
De la même manière qu’une charte de suivi de la généalogie, il pourrait être préposé d’instaurer avec cette carte d’identité, un système de photos remise a jours régulièrement.
Cet album photo personnel devrais regrouper les photos des ancêtres adultes et des photos de l’animal à intervalles réguliers de sa croissance de manière a pouvoir reconnaitre les signe visible de l’évolution de sont patrons graphique.
Il faudrait pouvoir centraliser toutes ses données pour pouvoir par exemple mètre a jours automatiquement les infos comme la mort d’un ancêtre ou savoir combiens d’animaux découlent d’un géniteur et sur combien de génération.
Cela implique une grosse structure informatique et une adhésion à une charte de suivis de registre.
Bon, je m’arrêt là pour ce soir car mes idées s’embrouillent…
Ce n’est qu’un premier jet de mon résonnement de ce soir avec les données qui sont en ma possession.
N’hésitez pas à enrichir cette réflexion par vos connaissances et vos propres réflexions de manière à ce que nous puissions à termes en ressortir des pistes de s travail…
A vous de suivre.
Etat du marché.
-Développement de la demande plus importante que les quotas d’exportation.
-Il en découle une augmentation potentiel du chiffre d’affaire général qui ré-accentues les démarches parallèle plus lucratives qu’est le braconnage et l’import illégale en dehors de la filière autorisée.
Système légale en place (CITES)
Cet organisme tente de réglementer les exportations pour protéger les populations sauvages.
Chaque exportation est sujette à une autorisation attribuée à un exportateur agréé.
Elle est ciblée sur une variété précise et sur une quantité bien définie.
Dans le principe, ce n° d’autorisation doit permettre de tracer les individus partout dans le monde.
Ce qui ne marche pas et pourquoi.
Les exportations sauvages sont permanentes.
Les structures « policières » ne peuvent pas contrôler toutes les sorties (pays tropicaux avec frontières totalement perméables, corruptions financière fréquentes…
Facilité de détourner la législation. (vide juridique)
Impossibilité de marquer les animaux, ce qui remet tout le système en pièce.
Que devrions-nous changer dans ce système pour que cela puisse évoluer dans le bon sens.
A-Diminuer l’attrait financier du braconnage.
Pour cela il y a plusieurs directions mais nous ne pouvons pas toutes les influencer à notre niveau.
-arrêter d’acheter… impensable pour des passionnés que nous somme…et il en resterait toujours pour commander.
-boycotter les animaux adultes non issu de la repros du vendeur (pour limité les mouvements des sauvages qui sont presque toujours adultes). De la même manière que l’arrêt de l’achat, c’est utopique.
-aider et promouvoir les initiatives d’élevage pour développer le NC de manière à avoir suffisamment d’animaux en comparaison de la demande et ne plus avoir besoin d’importer.
-avertir sur les risques pour le milieu que provoquent l’importation illégale et le braconnage sur les populations sauvages.
B-améliorer la traçabilité des animaux.
-demander systématiquement un papier de session et les papiers de cites pour toute bêtes importées (valable aussi si l’animal est passée par un pays intermédiaire car c’est uniquement au passage des frontières que les infos remonte a la CITES.)
-idéalement il faudrait à chaque nouvelle génération, donner l’historique des origines. Un peu à la manière du système de pédigrée des chiens.
Même si tout le monde ne le fait pas, si des groupe s’engage a travailler de la sorte, avec le temps, ces « famille généalogiquement identifiés » pourrons se développer et peut être surpasser les animaux non identifiés ce qui pourrait au finale laisser croire que sans identité généalogique l’animal peut être issus d’import illégale.
Il est évidant que toutes les bêtes sans « papier généalogique » ne seront pas obligatoirement illégales mais cela limitera peut être l’intérêt des sans papier issus du braconnage car boudés a la vente.
Si ces bettes sont boudées, leur prix baissera et cela pourrait aboutir a ce que ce bisness ne soit plus aussi rentable… ces personnes sans scrupule se réorienteraient peut être vers d’autre marché plus lucratif…
-trouver un système pour pouvoir identifier individuellement les animaux de manière a éliminer la faculté d’attribuer une fausse identité par N° CITES a des animaux qui ne proviennent pas de cette autorisation d’importation. (Blanchiment d’importation illégale)
Pour les gros animaux, c’est relativement simple avec bagues, tatouage, puce… pour les dendros, toutes ces technique sont inapplicable…
De la même manière qu’une charte de suivi de la généalogie, il pourrait être préposé d’instaurer avec cette carte d’identité, un système de photos remise a jours régulièrement.
Cet album photo personnel devrais regrouper les photos des ancêtres adultes et des photos de l’animal à intervalles réguliers de sa croissance de manière a pouvoir reconnaitre les signe visible de l’évolution de sont patrons graphique.
Il faudrait pouvoir centraliser toutes ses données pour pouvoir par exemple mètre a jours automatiquement les infos comme la mort d’un ancêtre ou savoir combiens d’animaux découlent d’un géniteur et sur combien de génération.
Cela implique une grosse structure informatique et une adhésion à une charte de suivis de registre.
Bon, je m’arrêt là pour ce soir car mes idées s’embrouillent…
Ce n’est qu’un premier jet de mon résonnement de ce soir avec les données qui sont en ma possession.
N’hésitez pas à enrichir cette réflexion par vos connaissances et vos propres réflexions de manière à ce que nous puissions à termes en ressortir des pistes de s travail…
A vous de suivre.